Certains Galaxy S7 sont équipés d’un capteur photo Sony

La cause est entendue et confirmée de tests en tests : les Galaxy S7 et S7 Edge sont d’excellents smartphones, peut-être même les meilleurs smartphone de 2016 bien qu’il faille laisser une chance à quelques gros prétendants à venir comme l’iPhone 7 d’Apple. Le S7 impressionne par ses performances et semble être une vitrine parfaite du savoir-faire du géant sud-coréen, ce dernier étant capable de produire la quasi intégralité des composants de son smartphone phare.

Et pourtant, tout omnipotent soit-il, le constructeur a du avoir recours à un autre fabricant pour l’un des composants clefs de son smartphone phare; un certain nombre de Galaxy S7 et S7 Edge sont en effet équipés d’un capteur dont la référence est IMX260 et qui est fabriqué par Sony. La surprise n’en est pas tout à fait une puisque l’an dernier déjà, certains Galaxy S6 étaient équipés de capteurs Samsung et d’autres de capteurs Sony.

Toutefois, le capteur IMX260 n’est pas référencé chez Sony, ce qui semble démontrer qu’il s’agit bien d’une demande particulière de Samsung vis à vis du géant japonais. Il faut dire que le capteur IMX260 cumule des caractéristiques aujourd’hui uniques sur le marché. Il s’agit en effet du seul 12 MPx Dual Pixel AF avec des photodiodes de 1,4 micron.

A gauche, un Galaxy S7 avec capteur Sony, à droite avec capteur Samsung
A gauche, un Galaxy S7 avec capteur Sony, à droite avec capteur Samsung

Reste à savoir si Sony fabriquera le même type de capteur pour d’autres fabricants, on pense  notamment à Apple qui apprécie particulièrement les capteurs Sony ainsi que savoir pour quelles raisons Samsung n’a pas été en mesure de fournir la totalité de sa production de S7 avec son propre composant. Espérons pour les utilisateurs du dernier Galaxy que les photos réalisées par les deux capteur soient au moins de qualité identiques, ce qui n’était pas le cas avec le Galaxy S6 qui avait un net avantage pour le capteur Sony.

Né en 1998 à Sanary, Livio Didier quitte rarement sa terre natale. Entre mer et collines, c’est via le net qu’il donne à ses activités une dimension internationale. En parallèle de sa scolarité, il développe la création de sites, d’applications et de jeux. Il n’a que 14 ans lorsqu’il signe un premier contrat de conception de site. Soucieux de démocratiser la culture, il étend sa première société Livio Informatique au domaine de la diffusion radiophonique par le web et inaugure en 2013 Radio Livio. Un an plus tard, il ouvre sa maison d’édition Livio Éditions, ayant pour mot d’ordre de favoriser l’accès au plus grand nombre. Ces trois activités conjuguées lui permettent aujourd’hui de diffuser des émissions musicales et culturelles, de proposer à moindre frais des ouvrages de qualité, de promouvoir des auteurs et même des musiciens. On ne compte plus les idées que Livio développe et les projets qu’il réalise avec l’enthousiasme tranquille qui le caractérise. Philanthrope, engagé, et sensible à tout ce qui touche le quotidien, nul doute que Livio Didier suive un parcours qui n’a pas fini de nous étonner.