Test du nouveau câble MicroUSB de 1M Syncwire en nylon tressé

Test du nouveau câble MicroUSB de 1M Syncwire en nylon tressé Accessoires

Aujourd’hui, je vous propose un test du tout nouveau câble MicroUSB de 1m en nylon tressé de Syncwire. Il est plus solide et recharge vos appareils plus rapidement.

À l’arrivée, la boite de petite taille contenait 2 câbles microUSB identiques et une petite carte de garantie à vie, comme d’habitude avec Syncwire.

Test du nouveau câble MicroUSB en nylon tressé de Syncwire

Test du nouveau câble MicroUSB en nylon tressé de Syncwire

On remarque que les produits sont recyclables en utilisant une filière appropriée et que la marque participe au programme de valorisation des emballages ménagers.
La carte de garantie contient les informations nécessaires en cas de problème, notamment l’adresse web pour contacter le support client, l’adresse pour s’enregistrer auprès de Syncwire afin de bénéficier d’une garantie à vie et de codes promotionnels pour vos prochains achats, et enfin un lien pour rejoindre le Club VIP Syncwire pour bénéficier de réductions et d’échantillons gratuits.

Je ne vais pas vous apprendre à utiliser un câble. Rien de spécial à propos de celui-ci, sauf sa conception en nylon tressé, qui fait sa force ! Et le fait que pour le prix d’un câble, la boîte en contient deux ! Ces câbles mesurent 1m. Ils servent à la recharge de vos appareils et au transfert de données entre votre ordinateur et vos appareils, tel que les tablettes ou smartphones.

Ils sont très résistants ! Je les ai maltraités, pliés, tiré dessus… Que ce soit au niveau des connecteurs ou au milieu, je peux vous assurer que c’est du solide ! Ils sont vraiment résistants aux épreuves de la vie et du quotidien. Contrairement aux câbles classiques qui ne résistent généralement même pas aux pliures, alors encore moins aux coupures, aux tensions… Bref ! Ces câbles Sync-wire disposent d’un tressage de fils de nylon fins et très solides qui rendent le câble entier globalement rigide mais pas dur et reste donc pliable quand même. J’ai réussi à couper quelques fils de nylon en utilisant un couteau. C’est évidemment juste pour le test et il faut vraiment le vouloir pour réussir à déchirer les fils de nylon tressés externes… Je me suis arrêté là mais je ne pense pas que j’aurai pu aller plus loin que le gainage en aluminium anodisé. J’ai juste évité d’approcher une flamme des câbles, c’est le seul test auquel je n’ai pas procédé, car ils ne sont évidemment pas ignifuges et auraient cédé. Mais ils ne sont pas conçus pour, donc pas de pénalité. En résumé, ils sont très très résistants aux contraintes de la vie du quotidien, notamment les torsions, les pliages, les écrasements et les étirements.

En dessous du tressage en nylon, le câble est entouré d’une gaine en aluminium anodisé qui contribue à la solidité et à la résistance de l’ensemble, même en cas de projections d’eau. De plus, l’aluminium anodisé garantit une tenue dans le temps de plus de 50 ans, une résistance mécanique de la surface aux milieux abrasifs et agressifs, une résistance chimique en milieu urbain et marin, pas de problèmes d’adhérence ni de corrosion…

Test du câble MicroUSB en nylon tressé de Syncwire 3

Les embouts sont en aluminium et donc pas de risque de rouille comme des câbles plus classiques et bas de gamme, et la composition multi-couches est vraiment très bien pensée avec une couche externe de fils de nylons tressés, entourant le gainage en aluminium, entourant lui même un autre tressage de fils de nylon blindé, entourant un double gainage Aluminium/Mylar. On a donc droit à du haut niveau d’isolation et de résistance !

Et le prix… On a l’avantage d’avoir de la haute qualité, deux câbles, à petit prix, moins de 8€. Vous pouvez de plus avoir -15% jusqu’au 31 décembre 2016, avec le code « V8EVYBAO » En commerce, ce n’est même pas le prix d’un seul câble micro USB de cette taille. Vous pouvez foncer les yeux fermés et le trouver ici. Vous pouvez aussi trouver une version de 2 mètres, pour moins de 10€.

Né en 1998 à Sanary, Livio Didier quitte rarement sa terre natale. Entre mer et collines, c’est via le net qu’il donne à ses activités une dimension internationale. En parallèle de sa scolarité, il développe la création de sites, d’applications et de jeux. Il n’a que 14 ans lorsqu’il signe un premier contrat de conception de site. Soucieux de démocratiser la culture, il étend sa première société Livio Informatique au domaine de la diffusion radiophonique par le web et inaugure en 2013 Radio Livio. Un an plus tard, il ouvre sa maison d’édition Livio Éditions, ayant pour mot d’ordre de favoriser l’accès au plus grand nombre. Ces trois activités conjuguées lui permettent aujourd’hui de diffuser des émissions musicales et culturelles, de proposer à moindre frais des ouvrages de qualité, de promouvoir des auteurs et même des musiciens. On ne compte plus les idées que Livio développe et les projets qu’il réalise avec l’enthousiasme tranquille qui le caractérise. Philanthrope, engagé, et sensible à tout ce qui touche le quotidien, nul doute que Livio Didier suive un parcours qui n’a pas fini de nous étonner.