De la recharge sans fil à l’étude, et une IA qui prend officiellement la place du conducteur pour la Google Car Actualité

De la recharge sans fil à l’étude, et une IA qui prend officiellement la place du conducteur pour la Google Car

Le projet Google Car prend forme. Alors que toutes les interrogations ne sont pas encore levées concernant la faisabilité technique mais surtout juridique des voitures réellement autonomes, les autorités américaines viennent de faire un grand pas de géant vers la réalisation effective des voitures autonomes pour tous. Ainsi, le régulateur US a fini par considérer que la voiture autonome elle-même était bien son propre conducteur réel, ce qui retire l’obligation de laisser la main à un pilote humain dans certaines situations de conduite bien particulières. Google considère même cette possibilité technique comme dangereuse, arguant qu’elle pourrait aller à l’encontre des indications fournies par les capteurs et les systèmes de guidage, et ainsi causer un accident.

La NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration) s’est donc rangée aux arguments de Google, une décision qui semblait loin d’être acquise il y a encore quelques temps : « nous sommes du même avis que Google concernant le fait que ses voitures autonomes n’ont pas de « conducteur » dans le sens traditionnel où un véhicule nécessitait un conducteur depuis plus d’une centaine d’années ». La voie n’est pas encore totalement libre pour une voiture autonome sans volant, mais il semble que les autorités commencent sérieusement à soupeser les risques réels induits par le tout-autonome dirigé par une IA de conduite face aux risques, bien connus et sans doute beaucoup plus nombreux, qui peuvent découler des erreurs humaines.

Google-Car

Les évolutions ne sont pas seulement juridiques. Il se murmure en effet que Google travaille sur une technologie de recharge sans fil pour ses Google Car. Dans cette configuration, le véhicule à sec de batterie n’aurait plus qu’à se placer au dessus d’un plot de recharge pour se regonfler à bloc. Comme dans toute solution sans fil, c’est bien sûr la déperdition d’énergie qui poserait encore problème, les systèmes de recharge sans fil n’étant pas vraiment d’une efficience énergétique redoutable…

 

Né en 1998 à Sanary, Livio Didier quitte rarement sa terre natale. Entre mer et collines, c’est via le net qu’il donne à ses activités une dimension internationale. En parallèle de sa scolarité, il développe la création de sites, d’applications et de jeux. Il n’a que 14 ans lorsqu’il signe un premier contrat de conception de site. Soucieux de démocratiser la culture, il étend sa première société Livio Informatique au domaine de la diffusion radiophonique par le web et inaugure en 2013 Radio Livio. Un an plus tard, il ouvre sa maison d’édition Livio Éditions, ayant pour mot d’ordre de favoriser l’accès au plus grand nombre. Ces trois activités conjuguées lui permettent aujourd’hui de diffuser des émissions musicales et culturelles, de proposer à moindre frais des ouvrages de qualité, de promouvoir des auteurs et même des musiciens. On ne compte plus les idées que Livio développe et les projets qu’il réalise avec l’enthousiasme tranquille qui le caractérise. Philanthrope, engagé, et sensible à tout ce qui touche le quotidien, nul doute que Livio Didier suive un parcours qui n’a pas fini de nous étonner.