S’il y a une chose sur laquelle le président Trump et Biden se mettent d’accord c’est l’interdiction de Huawei. Pendant des décennies, Huawei a été considéré comme une menace pour la sécurité, mais sous le président Bush et Obama, ils n’ont pu en trouver aucune preuve. Une enquête menée sous Obama a duré plus d’un an et n’a rien trouvé.
Le calvaire de Huawei continue
Le président Trump a placé Huawei sur la Entity List, ce qui signifie en fait qu’elles ne peuvent travailler avec aucune entreprise américaine. Sans obtenir l’approbation du gouvernement américain. Huawei ne peut pas travailler avec Google. Et l’entreprise souffre énormément de cette privation. Bien sûr, les choses pourraient changer une fois que Raimondo sera placée à son poste au sein du cabinet, mais il est peu probable que cela change. Biden a été très silencieux sur sa position vis à vis de Huawei. L’entreprise chinoise a continué de nier tout lien avec le gouvernement chinois et son armée. Mais cela ne suffit pas pour amener le gouvernement américain à lever son interdiction de l’entreprise.
L’interdiction a contraint Huawei à créer son propre système d’exploitation basé sur Android, Harmony OS. En plus de vendre sa célèbre marque HONOUR. Une marque qui fonctionnait très bien pour Huawei, avant qu’ils soient placé sur la Entity list. Ce qui en fait un coup dur pour Huawei. Fondée en 2013, la gamme de smartphones économiques d’Honor permettait à Huawei de rivaliser avec les marques de smartphones de milieu de gamme en Chine et dans le monde. Lors de la pandémie de coronavirus en 2020 et en raison des sanctions du gouvernement américain, Huawei a vendu la sous-marque Honor. Ce qui a conduit à l’acquisition de la société par Shenzhen Zhixin New Information Technology Co.
De plus, Huawei fabrique des équipements de réseau et se sont ceux-là dont les gouvernements ont vraiment peur. Cet aspect de l’entreprise a été durement touché. Surtout avec le déploiement de la 5G actuellement en cours dans le monde entier.